Un bon cru pour 2014
Le nombre des manuscrits reçus pour ce 63e concours (66) est dans la lignée du précédent.
Les textes se répartissent de la manière suivante : 15 en première section, 20 en seconde, 11 en troisième et 20 en quatrième.
Après des échanges argumentés entre les 4 jurés de chaque section, et des débats parfois vifs, 11 prix sur les 12 possibles ont été attribués.
Seul un des textes primés a mérité le label de la section, emportant, dans la foulée le Prix Raymond-Besson.
Les prix de la DGLFLF et du CCE ont également été décernés.
C’est donc un bon cru, sinon un millésime exceptionnel.
Le palmarès
1re section
Texte en prose (récit, nouvelle, conte)
ayant un rapport avec le chemin de fer (prix Étienne-Cattin)
- 1er prix : Emmanuel Thaon, de Grandglise, Belgique, pour Le Gaucher.
Ce texte a également obtenu le prix de la DGLFLF (Délégation générale à la langue française et aux langues de France). - 2e prix : Roger Texier, de Soullans (85) pour Découcher.
- 3e prix : Virginie Perraud, de Paris (75), pour La petite traverse.
2e section
Texte en prose (récit, nouvelle, conte)
à sujet libre (prix Henri-Queffélec)
- 1er prix : Julien Köberich, de Paris (75), pour Jean-Paul Dugommier.
- 2e prix : Emmanuel Thaon, de Grandglise, Belgique, pour La belle aux cheveux d’or.
3e section
Poésie régulière (prix René-Violaines)
- 1er prix : Édouard Piolet, de L’Étrat (42), pour Les étés à venir.
Ce texte à également obtenu le label prix René-Violaines.
L’auteur a, de plus, reçu le prix de l’UAICF, prix Raymond-Besson. - 2e prix : Paul Baïsset, de Saint-Clément-de-Rivière (34), pour La rose impubère.
- 3e prix : Jean Havel, de Diffembach-lès-Hellimer (57), pour C’est un petit pays.
4e section
Poésie libérée ou prose poétique (prix Ferdinand-Camilleti)
- 1er prix : Paul Chaperon, de Paris (75), pour Rouges engelures.
- 2e prix : Georges Wallerand, de Thiais (94), pour Saisons.
- 3e prix : Julien Köberich, de Paris (75), pour Ensable-moi.
Ce texte a également obtenu le prix du CCE.
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